ACTUALITES BEIJING, 21 juillet 2020 (Yeclo avec Xinhua) — Des dirigeants politiques du monde entier ont exprimé leur opposition à la promulgation par les Etats-Unis de la soi-disant « Loi sur l'autonomie de Hong Kong », et ont déclaré leur soutien à la législation chinoise sur la sécurité nationale de la Région administrative spéciale de Hong Kong, qui vise à protéger la souveraineté, la sécurité et les intérêts de développement de la Chine.
Mohamed Bazoum, président du Parti pour la démocratie et le socialisme du Niger, a déclaré que la mise en œuvre de la loi sur la sécurité nationale chinoise faisait partie des affaires internes de la Chine, et qu'aucun autre pays n'avait le droit de s'en mêler.
Depuis longtemps, certains pays essaient fréquemment de s'ingérer dans les affaires intérieures d'autrui au nom des droits de l'homme, de la démocratie et de la liberté, tout en fermant les yeux sur leurs propres problèmes, a-t-il souligné, ajoutant que le Niger soutenait la Chine dans la mise en place de sa loi sur la sauvegarde de la sécurité nationale à Hong Kong, qui était conforme à la constitution chinoise et à la loi fondamentale de Hong Kong.
Moussa Timbine, président de l'Assemblée nationale du Mali, a quant à lui déclaré que les affaires de Hong Kong faisaient strictement partie des affaires intérieures de la Chine, et que la sauvegarde de la sécurité et de la stabilité de la région était un des devoirs sacrés du gouvernement chinois, et constituait une entreprise à la fois raisonnable et légale.
Aucune force étrangère n'a le droit de s'ingérer dans les affaires intérieures de la Chine, et encore moins de tenter d'utiliser Hong Kong pour nuire à la stabilité de la Chine, a-t-il souligné.
Le Mali s'oppose fermement à toute ingérence étrangère dans les affaires intérieures de la Chine, et soutient fermement les efforts de la Chine pour sauvegarder sa souveraineté et sa sécurité nationales, a-t-il ajouté.
Walter Sorrentino, vice-président du Parti communiste du Brésil, a indiqué que le principe d'une seule Chine faisait consensus au sein de la communauté internationale, et que l'expérience prouvait que le principe « un pays, deux systèmes » fonctionnait avec succès à Hong Kong et à Macao.
Allant à contre-courant du consensus de la communauté internationale, certains pays ont sciemment ignoré les accomplissements de Hong Kong depuis son retour à la mère-patrie, et ont tenté de monter en épingle certains problèmes existant à Hong Kong, dans le seul but d'utiliser Hong Kong comme levier pour faire barrage à la Chine et maintenir leur propre hégémonie, a déclaré M. Sorrentino, exprimant son opposition à de telles pratiques.
Le secrétaire général du Parti socialiste yéménite, Abdulraham Al-Saqqaf, a pour sa part déclaré qu'après son retour à la Chine, Hong Kong s'était vu accorder un degré élevé d'autonomie, conformément au principe « un pays, deux systèmes », à la constitution chinoise et à la loi fondamentale de Hong Kong.
Le Parti socialiste yéménite soutient fermement les mesures prises par la Chine pour sauvegarder sa souveraineté, sa sécurité et son intégrité territoriale, a précisé le secrétaire général, ajoutant que tout acte visant à porter atteinte à la sécurité nationale de la Chine était condamné à l'échec.
Averof Neofytou, président du parti « Rassemblement démocratique » de Chypre, a déclaré que son parti comprenait parfaitement l'importance et la nature sensible de la question de Hong Kong pour la Chine, et n'essaierait jamais de s'ingérer dans les affaires internes de la Chine.
Les affaires de Hong Kong doivent être gérées par le gouvernement et le peuple chinois, a-t-il affirmé.
Le vice-président de l'Union des partis modérés de Vanuatu, Alatoi Ishmael Kalsakau, a indiqué que l'adhésion au principe politique d'une seule Chine constituait une partie importante de la politique étrangère de Vanuatu.
M. Kalsakau, qui est également vice-Premier ministre et ministre des Affaires intérieures de Vanuatu, a déclaré que son pays soutenait la partie chinoise dans la mise en place et l'amélioration du système juridique et de ses mécanismes d'application dans la Région administrative spéciale de Hong Kong, et ce afin de sauvegarder la sécurité nationale chinoise. Son pays soutient également l'adoption de la loi de sécurité nationale par le Comité permanent de l'Assemblée populaire nationale chinoise, a-t-il ajouté.
Cela garantira une mise en œuvre efficace du principe « un pays, deux systèmes » à Hong Kong, et contribuera à maintenir la prospérité et la stabilité à long terme dans la région, a déclaré M. Kalsakau. Fin