ACTUALITES BRUXELLES, 15 octobre 2020 (Yeclo avec Xinhua) — Voici les principales informations dans des quotidiens belges parus jeudi :
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HET LAATSE NIEUWS (Les Dernières Nouvelles)
Près de 1.800 personnes hospitalisées et le nombre moyen d'infections a doublé en une semaine. Entre le 5 et le 11 octobre, il y a eu en moyenne 5.421 nouvelles infections au coronavirus par jour. Il s'agit d'une augmentation de 101% par rapport à la période précédente de sept jours, ressort-il de la mise à jour jeudi matin des chiffres communiqués par l'institut de santé publique Sciensano. Le triste record quotidien du 9 octobre a été ajusté à 7.481 nouvelles infections.
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LE SOIR
L'Agence pour une vie de qualité (Aviq) analyse les clusters de Covid-19 en Wallonie depuis le mois d'août et il apparaît que c'est dans le foyer familial que le virus se transmet principalement. La récolte des informations de ce type est une première en Belgique et demeure très importante pour la suite. 2.597 clusters familiaux et 481 clusters collectivités ont été recensés », rapporte Matthieu Henroteaux, chargé des relations avec la presse au sein de l'Aviq.
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DE MORGEN (Le Matin)
L'Europe est déçue par le plan énergétique et climatique belge. Selon la Commission, le plan énergétique et climatique belge est un gâchis. Notre pays n'atteindra pas son principal objectif climatique – une réduction de 35% des émissions nocives d'ici 2030, prévient l'Europe. En particulier, l'ambition flamande est trop faible pour cela.
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DE TIJD (Le Temps)
L'industrie des eaux et sodas a vu ses revenus fondre de 20% et plus durant le confinement, et ses volumes de 7% sur les sept premiers mois, selon les chiffres de l'association des industries de l'eau et des boissons rafraîchissantes. Si le choc est moins rude que pour les brasseries belges, qui ont perdu 45% de leurs volumes dans les cafés et restaurants, les producteurs d'eaux minérales et de boissons non alcoolisées ont également payé un lourd tribut à la crise pandémique.
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GAZET VAN ANTWERPEN (La Gazette d'Anvers)
L'AZ Klina à Brasschaat peut maintenant, avec l'aide de l'intelligence artificielle, reconnaître si le tissu mammaire semble suspect et estimer le risque de cancer du sein pour les deux ans qui suivent. « Mais l'ordinateur ne décidera jamais comment un patient est traité ». Fin
