Aka Malan cadre du PPA-CI parti de Laurent Gbagbo fait décrypte l'affaire des « 49 soldats ivoiriens arrêtés au Mali ».
Pour une fois dans ma vie, j'ai voulu croire en Ouattara sur cette gênante affaire des « 49 soldats ivoiriens arrêtés au Mali ». Mais là, il vient de me montrer que j'ai eu tort de croire en lui.
En effet, le communiqué sanctionnant le Conseil National de Sécurité, convoqué hier par le Chef de l'Etat Alassane Ouattara, a affirmé que ces soldats ivoiriens ont atterri au Mali dans le cadre de la mission régulière des Nations Unies à laquelle la Côte d'Ivoire est associée à travers la NSE (Eléments de Soutien Nationaux).
Mais voilà que depuis ce latin, les Nations Unies affirment ne pas reconnaitre ces soldats dans leurs fichiers, encore moins parmi les éléments de la MINUSMA stationnés au MALI.
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A vrai dire, l'implication de notre pays dans une cet énième affaire mensongère et scandaleuse, par Ouattara et ses lieutenants, est gênante. C'est l'image de la Côte d'Ivoire qui vient une fois de plus d'être écorchée.
Déjà que notre pays a été nommément cité dans plusieurs affaires de déstabilisation de pays d'Afrique, notamment le Burkina Faso, le Gabon, et aujourd'hui le Mali.
– Pourquoi Ouattara (Président du Conseil National de Sécurité) a-t-il affirmé que ces soldats de l'armée ivoirienne sont inscrits dans les rangs de la NSE alors que c'est faux ?
– Pourquoi Ouattara a-t-il affirmé que ces soldats se rendaient au Mali dans le cadre de la mission des Nations Unies alors que c'est faux ?
– Quelle était la réelle mission de ces soldats au Mali ?
– A présent, sommes-nous en Droit de douter aussi de l'appartenance de ces soldats à l'armée ivoirienne ? Parce que si on a été capable de mentir au peuple ivoirien sur l'objet de leur présence au Mali, c'est qu'on peut aussi leur mentir sur leur appartenance aux effectifs de l'armée ivoirienne.
– « S'en sortirons-je-nous ? »
Cette situation vient encore creuser l'écart entre Ouattara et les populations qui ont une raison de plus de croire que le mensonge est abusivement associée à la gestion du pays ; donc de ses ressources.
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Mon défunt père me disait toujours qu'à force de ne pas respecter les règles de la maison, on finit pas ne pas considérer et respecter celle des autres. Et comme l'artiste « engagé » Alpha Blondy le disait dans l'une de ses chansons : MON PERE AVAIT RAISON…
