La saisie de plus de 2700 sacs de lait en poudre périmé et corrompu à Koumassi est une affaire grave qui pose des questions importantes sur la sécurité alimentaire dans le pays.
Les produits saisis, d'une valeur de plus de 141 millions de FCFA, étaient impropres à la consommation et potentiellement dangereux pour la santé des consommateurs. Ils auraient pu être vendus sur le marché noir, ce qui aurait pu exposer de nombreuses personnes à des risques sanitaires.
La BCR, qui a mené l'opération de saisie, a déclaré qu'elle avait agi sur la base d'une information anonyme. Il est important de noter que les produits saisis ne provenaient pas d'une source officielle, mais d'un circuit parallèle. Cela suggère que le problème de la falsification et de la contrefaçon de produits alimentaires est une réalité en Côte d'Ivoire.
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La procédure pénale ouverte contre les propriétaires des produits saisis est une mesure importante pour dissuader de telles pratiques. Il est important que les responsables soient tenus responsables de leurs actes afin de garantir la sécurité alimentaire des consommateurs ivoiriens.
