Face aux internautes le 10 janvier 2022, le ministre des Transports, Amadou Koné, a promis « traiter le problème » des fausses plaques d'immatriculation.
Le ministre des Transports a traité lors de ce direct plusieurs préoccupations des internautes. Il s'agit entre autres, des voies de recours des personnes impactées par le projet du Métro d'Abidjan, de la question de la vétusté des véhicules des transports en commun, de la réforme du permis de conduire, du transport lagunaire et ferroviaire, du projet de renouvellement du parc automobile. Il a également évoqué la stratégie de sécurité routière, les mesures prises à l'encontre des motos et tricycles, la question des plaques d'immatriculation et l'utilisation du gaz butane par certains véhicules.
Au sujet des motos et des tricycles, le ministre a dit avoir donné instructions à ses services de confisquer les motos de tous ceux qui roulent sans casques. Et d'ajouter qu'ils ont désormais l'obligation d'avoir des plaques d'immatriculation.
Le ministre des Transports a reconnu, grâce à la vidéoverbalisation, l'existence de plusieurs fausses plaques d'immatriculation. « Ce problème sera traité », a-t-il promis.
Il a également fait le constat de la lenteur dans la mise à disposition des plaques d'immatriculation par ceux qui sont chargés de les produire. Garantissant qu'à partir du mois de mars 2022, avec le système qui se met en place, l'usager va devoir patienter « 2 semaines au maximum » pour disposer de sa plaque d'immatriculation.