Le général Abdourahamane Tiani, nouvel homme fort du Niger, a mis en garde la CEDEAO contre une intervention militaire visant son pays.
Il a déclaré que si une agression devait être entreprise contre le Niger, elle ne serait pas « la promenade de santé à laquelle certains croient ».
Le général Tiani a également annoncé le lancement d'un « dialogue national » qui dispose de trente jours pour formuler des « propositions concrètes » en vue de poser « les fondements d'une nouvelle vie constitutionnelle ».
La CEDEAO a condamné le coup d'État et a imposé des sanctions au Niger. La Communauté a également menacé d'une intervention militaire si le général Tiani ne restaurait pas l'ordre constitutionnel dans un délai de deux semaines.
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Le général Tiani a rejeté les exigences de la CEDEAO et a déclaré qu'il ne céderait pas au chantage. Il a également accusé la CEDEAO de soutenir le régime renversé du président Mohamed Bazoum.
La situation au Niger reste tendue. Il est difficile de dire comment la crise va se dérouler. Cependant, il est clair que le général Tiani est déterminé à rester au pouvoir et qu'il est prêt à faire face à la CEDEAO.
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La situation au Niger est un rappel que les coups d'État ne sont pas une solution aux problèmes politiques. Ils ne font qu'aggraver les crises et rendre plus difficile la résolution des problèmes. Il est important de trouver des solutions pacifiques aux problèmes politiques et de travailler ensemble pour construire un avenir meilleur pour le Niger.
