Pour Doumbia Major, le seul diplôme de Guillaume Soro, candidat à la présidentielle ivoirienne d'octobre 2020, sont les armes.
SORO n'a jamais déposé un CV ou un diplôme pour solliciter et avoir un emploi de toute sa vie ; le seul « diplôme » qu'il a toujours présenté, ce sont les armes où la menace des armes que d'autres tenaient entre les mains et dont il profitait lâchement pour se bâtir une carrière par la force et la violence qu'il a imposé à tout le pays.
C'est en cela que Gbagbo lui a rappelé que tout ce qu'il est et tout ce qu'il a, il ne l'a que par les armes, en prenant le soin de l'avertir que le jour où il n'aura plus les armes, il sera réduit à sa simple expression.
Le voilà aujourd'hui en errance en France où il est incapable d'avoir un emploi, parce qu'il n'a pas les compétences et parchemins qu'il faut pour avoir un travail dans un pays démocratique où la force n'a pas sa place.
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Notre génération ne saurait se reconnaître dans ce type de contre-exemples et d'anti-modèles, dans un pays démocratique où la valeur travail est à magnifier et où seuls la compétence et le mérite doivent prévaloir pour occuper des emplois publics.
