Revue de la presse belge du 06 juin 2020 et les principales informations dans des quotidiens et journaux belges parus samedi.
LE FIGARO
Après le COVID-19, l'envie de vivre à la campagne
Eprouvés par le confinement ou séduits par leur séjour prolongé en milieu rural, de nombreux citadins veulent sauter le pas. Après le confinement, nombreux sont ceux qui cherchent à s'intaller en milieu rural. De plus en plus d'habitants des grandes villes, convaincus par le télétravail, cherchent aujourd'hui à changer de vie…Cette envie de maison et de nature née chez beaucoup d'urbains pendant le confinement sera plus qu'un feu de paille. Les dernières études d'intention le confirment et, sur le terrain, les agents immobiliers commencent à signer des ventes…Une maison, un jardin et une bonne connexion à internet. Pour beaucoup de télétravailleurs, ce fut le triptyque gagnant d'un confinement réussi. De quoi donner envie à beaucoup d'autres de sauter le pas.
LE MONDE
Macron : la lettre qui fixe ses nouvelles priorités
Le chef de l'Etat appelle à « la concorde nationale », sous la forme inédite d'un courrier envoyé aux présidents des trois Assemblées. L'épidémie « nous oblige à réinterroger nos choix », écrit-il au Sénat, à l'Assemblée nationale et au CESE. Emmanuel Macron propose à ses interlocuteurs une réflexion commune pour, d'ici un mois, « dessiner un nouvel horizon ». Parmi les thèmes évoqués : « notre système de santé, nos stratégies économiques et écologiques, notre relation au travail ». Deux chantiers pour l'Elysée : le renforcement de la souveraineté et l'organisation des pouvoirs.
LIRE AUSSI: Covid-19 Djibouti : 219 cas confirmés en 24 heures
LES ECHOS
Emploi, chômage : le chef de l'Etat joue l'ouverture avec les partenaires sociaux
L'exécutif français a décidé de faire un effort sans précédent pour éviter un crash de l'apprentissage en raison de la crise du coronavirus. L'annonce en a été faite aux leaders syndicaux et patronaux jeudi après-midi, lors de l'entretien qu'ils ont eu avec Emmanuel Macron à l'Elysée. Il n'en coûtera rien ou quasi rien pendant un an à l'employeur qui embauchera en alternance un jeune de moins de 21 ans, et seulement 175 euros par mois entre 21 et 25 ans. Personne tant du côté du patronat que des syndicats n'a trouvé à redire au fait d'être mis devant le fait accompli sur le sujet, chacun ayant conscience qu'il y avait urgence : c'est maintenant que la grande masse des décisions de recrutement se prennent.
