Depuis quelques jours, Abidjan est envahi par une vague : des panneaux publicitaires, des véhicules et des box aux couleurs de Côte d’Ivoire Data (CI-DATA) fleurissent partout.
Cette campagne massive annonce l’arrivée imminente d’un acteur majeur qui promet de révolutionner le paysage numérique ivoirien.
L’ambition de CI-DATA est simple : briser les barrières tarifaires qui excluent une grande partie de la population de l’accès à l’internet. En proposant des forfaits illimités à des prix accessibles à tous, CI-DATA entend donner à chaque Ivoirien la possibilité de se connecter au monde numérique et de profiter de ses innombrables opportunités.
Une réponse aux critiques
Le déploiement de CI-DATA n’a pas manqué de susciter des réactions, notamment de la part de certains acteurs du marché qui craignent de voir leur mainmise sur le secteur menacée. Des campagnes de dénigrement ont été lancées, visant à discréditer le projet et son initiateur, Jean Bonin.
Mais face à ces attaques, CI-DATA reste droit dans ses bottes. La machine est en marche et rien ne l’arrêtera. D’ici quelques semaines, la population ivoirienne aura accès à des forfaits internet révolutionnaires qui changeront à jamais la donne.
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L’enjeu est de taille : il s’agit de donner à la Côte d’Ivoire les moyens de se hisser au rang des pays leaders de l’économie numérique africaine. En offrant des tarifs parmi les plus bas du continent, CI-DATA entend contribuer à la croissance économique et au développement social du pays.
Le combat de CI-DATA ne se limite pas au terrain commercial. L’entreprise a également engagé une action en justice contre l’Autorité de régulation des télécommunications de Côte d’Ivoire (ARTCI) pour contester sa décision de fixer un prix plancher du Mo de data à 0,80 F CFA HT.
Le 12 janvier dernier, l’ARTCI s’est déclarée incompétente pour statuer sur cette question. CI-DATA a décidé de faire appel de cette décision et de saisir la Cour d’Appel d’Abidjan.
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