« L’invisible combat contre Gbagbo, ancien président ivoirien et président du PPA-CI »: une contribution de Koua Justin.
» Cet homme est à détruire par tous les moyens », semblent-t-ils murmurer contre GBAGBO, dans leurs salons à baies vitrées.
Le fait que son coeur ne soit point gangrené par l’égoïsme et la corruption dérange énormément ces fourbes internes et externes.
Sa ferme volonté de défendre les opprimés contre les oppresseurs, plaider la cause du faible contre le fort semble être perçue comme une menace pour ceux qui se sont donnés pour mission de lutter contre les pauvres, et non, contre la pauvreté.
Hier, dans les années 90, ses détracteurs l’ont présenté comme un violent, un bon à rien qui ne cherchait qu’à perturber la quiétude des aristocrates au pouvoir.
Hier encore, dans les années 2000, ses détracteurs parlaient de lui à leurs alliés extérieurs comme quelqu’un qui avait une haine viscérale pour ses frères musulmans, ses frères du Nord aussi…
Pour lui faire la guerre, ses adversaires se sont payés les services de la presse étrangère, ils ont misé dans des lobbyngs pour le noircir dans l’opinion internationale.
Hier toujours, dans les années 2010, ses adversaires l’ont brandi comme un tyran, un fasciste infréquentable…pire qu’ADOLF Hitler et Mussolini en un.
𝐏𝐨𝐮𝐫 𝐥’𝐚𝐧𝐞́𝐚𝐧𝐭𝐢𝐫, 𝐥𝐞 𝐟𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐢𝐬𝐩𝐚𝐫𝐚𝐢̂𝐭𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐬𝐜𝐞̀𝐧𝐞 𝐩𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞, 𝐬𝐞𝐬 𝐚𝐝𝐯𝐞𝐫𝐬𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 𝐥𝐮𝐢 𝐨𝐧𝐭 𝐜𝐨𝐥𝐥𝐞́ 𝐮𝐧𝐞 𝐫𝐞́𝐛𝐞𝐥𝐥𝐢𝐨𝐧 𝐚𝐮𝐱 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞̀𝐫𝐞𝐬 𝐡𝐞𝐮𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐬𝐚 𝐠𝐞𝐬𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭, 𝐢𝐥𝐬 𝐧’𝐨𝐧𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐡𝐞́𝐬𝐢𝐭𝐞́ 𝐚̀ 𝐝𝐞́𝐜𝐨𝐥𝐥𝐞𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐡𝐞́𝐥𝐢𝐜𝐨𝐩𝐭𝐞̀𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐠𝐮𝐞𝐫𝐫𝐞, 𝐞𝐬𝐭𝐚𝐦𝐩𝐢𝐥𝐥𝐞́𝐬 𝐎𝐍𝐔, 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐛𝐨𝐦𝐛𝐚𝐫𝐝𝐞𝐫 𝐬𝐨𝐧 𝐩𝐚𝐲𝐬, 𝐬𝐚 𝐩𝐨𝐩𝐮𝐥𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧, 𝐬𝐚 𝐟𝐚𝐦𝐢𝐥𝐥𝐞 𝐚𝐮𝐬𝐬𝐢.
Heureux de l’avoir vaincu, ses adversaires, devant les caméras du monde, l’ont traîné au QG des rebelles armés et politiques, puis dans une maison sombre à korhogo, enfin, ils l’ont déporté à la CPI, loin de sa Patrie.
Là-bas, toutes les bibliothèques de calomnies montées contre lui se sont avérées impertinentes pour le condamner.
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La CPI, jugeant qu’il n’était responsable d’aucun crime, l’a simplement et purement acquitté…
À la Haye comme en Belgique où il attendait sa libération, ses adversaires ont recommencé à manigancer des complots contre lui..
Hors d’Abidjan, sûrement que ses adversaires procédaient aux recrutements de ses sympathisants pour en faire des calomniateurs, des agents à la solde de l’impérialisme occidental.
À Abidjan, le régime s’activait à le dépouiller de tout soutien populaire, en fragilisant son parti politique et, en retournant certains de ses responsables et amis contre lui.
La mission était clair : livrer l’honneur de GBAGBO aux chiens afin que sa ténacité et sa clairvoyance politique ne servent d’exemple aux peuples africains soucieux de souveraineté.
𝐋𝐞𝐬 𝐢𝐦𝐩𝐞́𝐫𝐢𝐚𝐥𝐢𝐬𝐭𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐥𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐯𝐚𝐥𝐞𝐭𝐬 𝐥𝐨𝐜𝐚𝐮𝐱 𝐧𝐞 𝐯𝐞𝐮𝐥𝐞𝐧𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐪𝐮𝐞 𝐥’𝐢𝐧𝐭𝐞́𝐠𝐫𝐢𝐭𝐞́, 𝐥’𝐢𝐧𝐜𝐨𝐫𝐫𝐮𝐩𝐭𝐢𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐞𝐭 𝐥𝐚 𝐜𝐨𝐦𝐛𝐚𝐭𝐢𝐯𝐢𝐭𝐞́ 𝐝𝐞 𝐆𝐁𝐀𝐆𝐁𝐎 𝐟𝐚𝐯𝐨𝐫𝐢𝐬𝐞𝐧𝐭 𝐚̀ 𝐞́𝐯𝐞𝐢𝐥𝐥𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐜𝐢𝐞𝐧𝐜𝐞𝐬, 𝐚̀ 𝐨𝐮𝐯𝐫𝐢𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐲𝐞𝐮𝐱 𝐝𝐞𝐬 𝐚𝐟𝐫𝐢𝐜𝐚𝐢𝐧𝐬 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞 𝐩𝐢𝐥𝐥𝐚𝐠𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐨𝐜𝐜𝐢𝐝𝐞𝐧𝐭𝐚𝐮𝐱 𝐝𝐞 𝐥𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐩𝐚𝐲𝐬,
Dommage que certains d’ entre nous, hier au combat, n’aient pas perçu ce complot pervers et macabre contre un digne fils de l’Afrique, que les impérialistes et leurs valets locaux, cherchent, par tous les moyens, à souiller et à isoler.
Dommage que certains d’entre nous, hier au combat, n’ayant pas compris cette manoeuvre impérialiste qui ne date pas d’aujourd’hui, s’activent à livrer leur Guide, leur Leader a l’amusement de nos ennemis communs.
𝐀𝐠𝐢𝐬𝐬𝐚𝐧𝐭 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐭𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐢𝐦𝐩𝐞́𝐫𝐢𝐚𝐥𝐢𝐬𝐭𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐥𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐯𝐚𝐥𝐞𝐭𝐬 𝐥𝐨𝐜𝐚𝐮𝐱, 𝐜𝐞𝐬 𝐚𝐦𝐢𝐬, 𝐡𝐢𝐞𝐫 𝐚𝐮 𝐜𝐨𝐦𝐛𝐚𝐭, 𝐭𝐫𝐚𝐯𝐚𝐢𝐥𝐥𝐞𝐧𝐭 𝐚̀ 𝐧𝐨𝐮𝐫𝐫𝐢𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐢𝐯𝐨𝐢𝐫𝐢𝐞𝐧𝐬 𝐝𝐞 𝐡𝐚𝐢𝐧𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐆𝐁𝐀𝐆𝐁𝐎. 𝐃𝐞𝐬 𝐦𝐢𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐞 𝐝𝐞́𝐜𝐨𝐧𝐬𝐭𝐫𝐮𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐥𝐞𝐮𝐫 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐜𝐨𝐧𝐟𝐢𝐞́𝐞𝐬 v𝐚𝐢𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭.
Ainsi, la méchanceté est-elle devenue pour eux une sorte de vivacité intellectuelle et politique. Tout, chez eux, respire un air de malice, de fourberie et de corruption qui souleve le cœur des ivoiriens. Ils agissent comme si en politique, la loyauté a l’air d’une manœuvre compliquée et sournoise, d’une fourberie savante.
𝐄𝐭 𝐩𝐨𝐮𝐫𝐭𝐚𝐧𝐭, 𝐢𝐥 𝐞𝐬𝐭 𝐞́𝐯𝐢𝐝𝐞𝐧𝐭 𝐪𝐮𝐞 𝐥𝐚 𝐥𝐮𝐭𝐭𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐬𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐚𝐢𝐧𝐞𝐭𝐞́ 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐂𝐨̂𝐭𝐞 𝐝’𝐈𝐯𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐭𝐨𝐮𝐭𝐞 𝐥’𝐀𝐟𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐧𝐞 𝐩𝐞𝐮𝐭 𝐚𝐛𝐨𝐮𝐭𝐢𝐫 𝐪𝐮𝐞 𝐬𝐨𝐮𝐬 𝐥’𝐞́𝐠𝐢𝐝𝐞 𝐝𝐞 𝐆𝐁𝐀𝐆𝐁𝐎 𝐋𝐚𝐮𝐫𝐞𝐧𝐭.
Lui seul a porté le combat pour la souveraineté de notre pays au cœur du système impérialiste et en est sorti intact, propre, sans tâches, sans égratignures.
Alors, par lui, avec lui, le soleil brillera sur l’Afrique.
L’Afrique recouvrera sa souveraineté.
2025 : GBAGBO gagne.
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