Revue de la presse marocaine du 02 juillet 2020

Voici les principales informations à la Une de journaux nationaux marocains parus et la revue de la presse marocaine du 02 juillet 2020.

L'ECONOMISTE

(RAM) reprend doucement son programme de vols. Une semaine après le retour des vols domestiques, la compagnie nationale renforcera, à partir du 06 juillet, son offre en augmentant le nombre de fréquences et de destinations desservies. Neuf liaisons régulières seront ainsi proposées. Les destinations nouvellement rétablies sont quatre lignes au départ et vers .

Il s'agit de , Hoceima et Ouarzazate (2 fréquences par semaine) et Errachidia (3 fréquences par semaine) ainsi que la liaison Tétouan-Al Hoceima (2 fréquences par semaine).

La compagnie augmentera également son offre sur trois des quatre lignes relancées depuis le 25 juin dernier. Les liaisons Casablanca-Dakhla et Casablanca-Laâyoune passeront à 5 fréquences par semaine au lieu de 3 et la ligne Casablanca- aura une quatrième fréquence par semaine.

LE MATIN

Un groupe d'amitié parlementaire -, où sont représentées différentes tendances politiques, a été installé au siège du Congrès péruvien.

La création de ce groupe vise à renforcer le rapprochement entre les deux pays et l'échange d'informations et d'expériences en matière parlementaire, ainsi qu'à promouvoir le dialogue, la coopération et la concertation sur des sujets d'intérêt commun, a indiqué un communiqué de l'ambassade au Pérou.

L'OPINION

Parmi les 15 premiers entrants dans l'espace de l', suite à l'ouverture partielle de ses frontières, le Maroc se voit offrir l'occasion, avec une enseigne ainsi astiquée, de se positionner en partenaire « sûr » post-COVID.

Franchir la ligne d'entrée dans l'espace UE en compagnie du , du , de l' et de la du Sud, avant les , la , l' et le , rappelle que le Maroc a su faire face à la pandémie et en juguler partiellement la propagation, tout en étant apte à relancer progressivement ses activités économiques, sans perdre le contrôle de la situation.

De nouveaux cas continuent d'être déclarés, mais le système sanitaire, qui a fait ses preuves, ne craint pas d'être débordé. La nouvelle étape consiste à apprendre à cohabiter avec ce virus jusqu'à ce qu'il daigne se retirer. Et prier pour qu'il n'y ait pas de seconde vague.

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AUJOURD'HUI LE MAROC

L'alternative du public brandie par les parents d'élèves n'est pas possible. En tout cas, la tutelle pense qu'un tel scénario serait catastrophique pour le système entier. Le ministre de l'éducation nationale, Saaïd Amzazi, est revenu sur la crise actuelle entre des écoles d'enseignement privé et les parents d'élèves qui ne veulent pas régler la totalité des frais de scolarité en raison de la suspension des cours présentiels.

S'exprimant devant les députés membres de la commission parlementaire permanente chargée de l'enseignement, de la culture et de la communication, le responsable gouvernemental n'y est pas allé par quatre chemins pour commenter la menace des certains parents de migrer massivement vers l'enseignement public. « Une migration du secteur privé au public ne doit pas avoir lieu puisque cela voudrait dire que nous avons échoué tous à trouver une solution à cette crise. Pourquoi ? Parce que l'école publique n'est pas prête à recevoir des effectifs importants des écoles privées. Dans ce cas, nous allons remettre en cause tout le parcours visant à réduire le nombre d'élèves par classe et d'améliorer la qualité de l'offre scolaire. Nous allons également mettre en péril l'architecture de l'enseignement privé », a dit le ministre.

Written by Christian Binaté

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